Aventure numéro 3 ou histoire d'une famille nombreuse

 

Avec les bodys de Laure

 

Au parc Barbieux au bout de notre rue

 

Margaux s'occupe de Clémence

 

Benjamin fait manger Florian

 

Ah les histoires !

 

Papa câlin

 

Poun gaga

N'est-elle pas adorable !!!

N'est-il pas adorable !!!

Que de temps passé, une vie nouvelle m'a emporté dans un grand tourbillon et je n'ai pas vu le temps s'égrener. L'hiver est vite arrivé, puis le printemps ! Bien sûr, il a fallu que je choisisse l'hiver le plus neigeux et surtout le plus long pour avoir des jumeaux à sortir (et à recouvrir de couches multiples) matin et soir pour conduire les "grands" à l'école !!! Screumeugneu !

Bref, nous sommes passés tous les 6 par différentes étapes, des angoisses, des coups de stress, mais aussi beaucoup de joies, de câlins et de rires. Margaux et Benjamin sont fans de leur petit frère et de leur petite sœur, ce qui rend les choses faciles et agréables.

Où en sommes-nous aujourd'hui ? Les p'tits lous ont 5 mois, attrapent tout ce qu'ils trouvent pour le mettre à la bouche, trouvent très amusant de se regarder l'un l'autre, se retournent du ventre sur le dos, et du dos sur le côté. Bref, la normale quoi. Ils sont récemment passés à 4 repas (2 bibs et 2 tétées) par jour, ce qui nous laisse des bouts de soirée tranquilles, mais apporte son lot de réveils très matinaux et d'heures de pointe à 19h le soir (en ayant baigné et mis tout le monde en pyjama) : préparation du repas des enfants et adultes, préparation des biberons des bébés, faire manger les enfants et les bébés, et voir si nous-mêmes arrivons à manger. C'est encore assez folklo car en phase d'expérimentation, mais n'oublions pas que la diversification n'est pas loin (mais pas avant 6 mois pour limiter les risques d'allergie) et que donner 2 biberons est plus rapide et plus facile que de donner de la purée à la cuiller à 2 zozios qui apprennent. Donc nous ne sommes pas au bout de nos peines !

Puisqu'on en est à l'alimentation, parlons un peu de Florian. Après avoir passé un mois et demi à bouder le sein, ce qui m'a valu des heures à lui proposer le sein pour ne pas le déshabituer, des heures à lui donner mon lait d'abord à la cuiller (maternité), puis à la seringue, avant de céder sur le biberon, j'avais finalement abandonné l'idée qu'il prendrait un jour au sein et il prenait toujours mon lait au biberon. Puis un mois après, j'ai retenté et il a pris ! Eureka ! Du coup, depuis, je ne suis plus tiraillée en me disant que Clémence a plus de calins-tétées que son frère, etc., etc.

Côté surnoms, finis les bibis et boubous et autres pirouettes et cacahuètes ! Nous sommes passés par Minouchette pour Clémence, puis par Choupinette, pour finalement souvent se retrouver à l'appeler Choupette. Pour Florian, après une vague tentative avec Minouchat, je suis finalement retombée sur le bon vieux Loulou, ce qui n'est pas sans poser problème vu que j'appelle déjà Benjamin comme ça...

Voilà pour cette petite update sur les joies de la vie quotidienne avec 4 jeunes enfants !

Florian

 

Clémence

 

Margaux et Benjamin découvrent leur petite soeur et leur petit frère

Margaux est très fière !

La grande imite la petite

 

Mes 4 enfants 

 

Benjamin et son petit frère 

 

1ère photo de famille 

 

 

Clémence 

 

Florian

 

Florian dans le "bilibed", un couffin équipé d'une table à lumière bleue pour éliminer la bilirubine, autrement dit la jaunisse 

 

 

Au tour de Clémence d'être dans le bilibed 

 

Juste avant le départ de la maternité 

 

Retour à la maison ! 

 

Quelques news très rapides, car je m'en doutais, je n'ai plus le temps de poster sur ce blog. Donc je pense que ce sera un de mes derniers articles.

Depuis la naissance, tout s'est enchaîné, la première nuit très agitée avec seulement 2 à 3 heures de sommeil pour moi, les premières tétées à essayer de les mettre tous les 2 au sein. Clémence qui n'avait absolument pas faim et voulait simplement qu'on la laisse téter sa main! Et Florian qui tétouillait.

Puis Margaux et Benjamin on rencontré leur petit frère et leur petite soeur le 25 après-midi. D'abord Benjamin m'a tourné autour, tout excité, en me demandant "ils sont où, ils sont où" et en regardant mon ventre. Peut-être pensait-il qu'ils étaient sortis, oui, mais toujours greffés à maman... Quelle joie de les voir si heureux. L'aboutissement de tous ces sacrifices faits pendant la grossesse, et de cette très très très très longue attente pour eux.

Puis les ennuis ont commencé, Clémence s'est mise à téter correctement, mais Florian n'arrivait toujours pas à prendre le sein correctement. Petite bouche, petit poids, bébé fatigué, pas assez d'énergie, toutes les raisons possibles ont été invoquées. Toujours est-il que j'ai commencé à lui donner mon colostrum à la petite cuiller, puis à la seringue, pour enfin, au bout de 3 jours, céder pour lui donner au biberon (car donner 4 ou 5 seringues à chaque fois était une vraie galère). Mais depuis bien sûr, il n'essaie même plus vraiment de téter au sein. Je lui fait quand même une "tétée-calin" à chaque fois avant de lui donner son biberon, pour le réconfort et au cas où il se mette soudainement à trouver le truc !

Cette première grande déception, survenant en même temps qu'une montée de lait impressionnante, confirmant que j'avais assez pour les 2, était atténuée par le fait que Clémence prenait bien.

Entre-temps, ils ont bien sûr tous les 2 fait la jaunisse, ce qui nous a valu de rester un jour de plus que prévu à la maternité, soit 6 jours au total. A notre sortie le mardi 30 octobre, ils reprenaient tous les 2 du poids, lentement mais sûrement.

Les 3 premiers jours à la maison se sont bien passés, même si nous sommes bien sûr débordés. Quelques visites bien sympathiques et la joie de retrouver les enfants et la maison ont rendu les choses faciles. Même les nuits se passaient relativement bien vu qu'ils me laissaient plusieurs heures de répit. Bref, ils dormaient bien mieux qu'à la maternité.

Puis vendredi, la sage-femme vient les voir pour les peser et contrôler leur taux de bilirubine (jaunisse), et là, patatras. On tombe des nues : Florian n'a pris que 20 g en 3 jours, et Clémence a perdu 50 g !!! Il faut donc maintenant "gaver" Florian à chaque biberon. Heureusement, il s'y fait bien et prend ses 80ml toutes les 3 h, nuit comprise, sans rechigner. Et pour Clémence, vu qu'elle tète bien, il suffit de la complémenter avec quelques seringues ou à la tasse si besoin. Ca paraît simple sauf qu'en fait, je m'aperçois dans la journée qu'elle n'arrive plus à téter. Fatigue ? Peut-être oui, mais je me rends également compte dans la soirée que ma lactation est en berne. Et oui, comme elle ne tète plus comme il faut, ça ne suffit pas à stimuler les montées de lait. Voilà, en gros, j'ai passé 2 jours complètement déprimée, à pleurer dès que je pensais à mon allaitement raté. Pour la pro-allaitement que je suis, réaliser que j'allais peut-être devoir tout arrêter à 10 jours de vie des minouchats, c'était vraiment dur. Et puis ce matin la sage-femme est repassée. Ils ont tous les 2 repris 90 à 100 g, donc il faut continuer sur cette lancée. Pour ma lactation, elle m'a donné des tisanes sensées favoriser tout ça, et puis je dois continuer comme j'ai commencé hier, c'est-à-dire de tirer mon lait après chaque "fausse" tétée de Clémence, que l'on complémente maintenant à 60ml chaque fois. C'est un peu dur-dur, mais je ne baisse pas les bras.

Voilà, la vague hormonale semble elle aussi passée, donc nous n'avons plus qu'à continuer à enchaîner les "gavages", et à espérer que Clémence recommence petit à petit à téter correctement.

Allez, je vous bise, pas certaine de donner d'autres news par le biais de ce blog prochainement.

7h30. Avec Loïc, nous voilà partis avec le sac pour la salle de naissance, la valise pour le séjour à la maternité et un coussin d'allaitement, bien décidés à ce que les bébés naissent aujourd'hui. 8h. J'attends à l'accueil des consultations pour m'enregistrer pendant que Loïc gare la voiture. La secrétaire me lance un "c'est pour aujourd'hui ?" encourageant ! 8h15. Nous avons été reçus aux urgences et un sage-femme examine mon col qui est ouvert à 2 doigts larges et complètement rétréci. Chouette ! Il me demande si nous sommes pour un déclenchement et on s'empresse d'acquiescer. Reste à vérifier au monitoring que j'ai des contractions pour que ce soit possible. Trop fastoche, des contractions j'en ai pleins ! Et bien finalement, au monito, en attendant que quelqu'un vienne nous voir, on a bien cru qu'ils allaient nous renvoyer chez nous vu qu'on ne voyait pas grand chose. Mais non, le sage-femme revient en disant que j'ai des contractions régulières et qu'on va me mettre une blouse, me poser un cathéter dans le bras et qu'on va pouvoir monter aux urgences. Re-chouette ! Aux urgences, visiblement, on nous attendait et on m'installe tout de suite en salle d'accouchement et sans avoir le temps de dire "ouf" je réalise que je ne vais plus pouvoir bouger de la table d'accouchement avant la naissance. La bonne surprise qui nous attend à l'arrivée, c'est que c'est Matthieu qui nous installe, le même sage-femme qui m'avait accouché pour Margaux comme pour Benjamin. Ce serait trop drôle que ce soit lui, cette fois aussi ! À 9h30, nous faisons connaissance de l'autre sage-femme présente aux urgences, Nathalie, qui s'occupera de nous toute la journée et lance la perfusion de Syntocinon, produit qui va seulement stabiliser et régulariser les contractions que j'ai déjà,vu la faible dose qu'elle met. Commence l'attente de voir les contractions s'intensifier. J'en ai toutes les 4-5 minutes. Loic allume la musique à l'appareil mural fourni dans la salle : trop cool. Notre journée sera rythmée au son des Tracy Chapman, Police, Goldman et autres. À 11h30, voyant que le travail ne se déclenche pas vraiment tout seul, même si mon col est ouvert à 5 cm maintenant, l'anesthésiste arrive pour la péridurale, afin qu'on puisse après percer la poche des eaux, ce qui devrait provoquer des contractions fortes et Nathalie pense que l'accouchement pourrait avoir lieu vers 14h.... À midi, la poche de Florian est percée. On s'attend à ce que ça aille vite maintenant mais à 14h, le résultat n'est pas folichon. Nathalie m'installe tantôt penchée en avant en appui sur une barre, tantôt les pieds en l'air reposant sur cette même barre, tantôt sur le côté gauche pour favoriser la descente. Le travail avance lentement mais sûrement. À 17h, alors que mon col est ouvert à 8 cm, panique à bord !!! La sage-femme a senti une oreille à l'examen. Elle fait une écho qui semble confirmer. Elle appelle Matthieu car il a déjà eu un cas similaire alors qu'elle, jamais. Matthieu confirme la position (impliquant normalement une césarienne) de la tête et tente de la retourner manuellement mais il est déjà très bas et ne veut rien savoir. C'est au tour du big chef du service, le professeur Houzé, de l'examiner et de tenter de le faire pivoter. On a passé la journée à vouloir qu'il descende, et voilà que tout le monde veut le faire remonter... Mon col est maintenant totalement ouvert. Aie aie aie, pas la césarienne maintenant, ça serait trop bête ! Mais le professeur est confiant. Il me dit de pousser légèrement au moment des contractions, que je sens encore à ce stade-là, pour l'aider à s'engager. En effet, il s'engage quand même petit à petit, en pivotant lentement pour mettre sa tête dans l'axe. À 18h55, tout à coup ça s'agite dans tous les sens. La salle se remplit d'un coup : l'interne, une autre sage-femme qui vient de prendre son service, 2 auxiliaires puéricultrices, le professeur gynéco, la pédiatre et l'anesthésiste. Tout le monde est au spectacle... Euh non je veux dire paré à tout éventualité. C'est impressionnant mais en fait, je ne les vois pas. Loic n'a presque plus de place mais tout le monde veille à ce qu'il trouve sa place, importante à mes côtés. Nathalie va me guider pour savoir quand pousser car ils ont augmenté la dose de péri pour être sûrs que ce ne soit pas du tout douloureux pour moi en cas d'urgence. Après 3 ou 4 contractions sur lesquelles je pousse, Florian est là sur mon ventre. Mais vite ils partent avec Loic pour l'essuyer sommairement. Après une très brève écho, Clémence à suivi la voie tracée par son frère et une sage-femme à droite, une auxiliaire à gauche qui maintiennent la verticalité de la minouchette, et l'interne aux commandes, je recommence à pousser, sans m'arrêter cette fois car les contractions n'aident de toute façon pas : l'utérus est trop grand pour faire effet quand il se contracte. En 4 respirations, Clémence est là à son tour ! Loic a à peine eu le temps de revenir. Je ne remarque même pas qu'entre temps, ils ont ramené Florian et me l'ont posé à hauteur de ma tête. 8 minutes se sont écoulées. Clémence est déjà sur mon ventre et tout juste essuyée. Quel félicité de les découvrir enfin, quel soulagement que tout ce soit bien passé et quel bonheur qu'ils aillent bien tous les 2...! Y'a pas à dire, ce moment-là est vraiment magique. Tellement qu'on voudrait recommencer à peine fini ! Finalement, Matthieu n'aura pas accouché un de nos enfants cette fois-ci, ayant fini son service, mais il était là dans la pièce d'à côté et est venu nous féliciter. Et puis on était bien contents que ce soit celle qui nous avait suivis toute la journée qui en voit le dénouement heureux !

Clémence et Florian ont pointé leur toute petite bouille le mercredi 24 octobre avec seulement huit minutes d'écart. Florian : 2,250 kg et 47 cm Clémence : 2,790 kg et 48 kg Tous les présents étaient d'accord pour des accouchements de jumeaux comme ça tous les jours, c'est dire si ça s'est bien passé. Pour moi l'essentiel c'est : pas de césarienne ! Et l'autre gros plus non négligeable, pas d'épisiotomie (donc pas de cicatrice pour ceux qui ne connaissent pas) Je mettrai une photo dans cet article de retour à la maison car c'est pas possible sur mon super téléphone intelligent...

Salut la compagnie. Aujourd'hui c'est le jour du terme officiel pour ma grossesse gémellaire, c'est-à-dire à 8 mois + 1 semaine. Du coup, je me suis résignée au déclenchement de l'accouchement qui devrait pouvoir se faire demain. RV a été pris il y a déjà un mois sans y croire pour cette consultation à 8h aux urgences de la maternité où ils vont vérifier que les bébés vont toujours bien et surtout pour déclencher, si les conditions favorables sont réunies, ce qui est normalement mon cas (col souple, court et ouvert à 2, et contractions). Donc avec Loic on a bien l'intention de ne pas ressortir bredouilles de cette "consultation". En clair, ON VEUT NOS BÉBÉS ! Donc c'est pour demain Inch´Allah ! Tout cela parait tellement irréel et ironique quand on sait la grossesse et l'alitement qu'on a vécus, et surtout de voir que je vais dépasser le terme avec des jumeaux dans le ventre alors que je n'y suis pas parvenue avec mes singletons ! Autre petite drôlerie, je me suis rendue compte que le terme pour cette grossesse-ci (donc aujourd'hui 23 octobre) est le même que celui prévu pour la naissance de Margaux il y a 5 ans... Mais Margaux était arrivée le 15 septembre ! Et les jumeaux... (bref, je ne vais pas recommencer !) Dernier point, pour ceux qui s'étonnent car ils connaissent des mamans de jumeaux qui sont allées à un terme équivalent à celui d'une grossesse simple, il se trouve que ça dépend des maternités, mais il semblerait qu'au-delà de 8 mois et 1 semaine, le ou les placentas risquent de ne plus bien faire leur travail, comme au-delà des 9 mois d'une grossesse simple. En tout cas moi je fais confiance à ma maternité et je ne me pose pas plus de questions que ça. D'autant que ça m'arrange vous me direz ! Et bien oui parce que c'est quand même bien dur sur la fin. Je fais même de la rétention d'eau depuis 4 jours et c'est pénible (le mot est faible) de mettre des bas de contention avec un tel bide ! Allez, souhaitez-nous de rencontrer Zig et Puce demain, et souhaitez-moi d'éviter la césarienne (qui compliquerait la mise en route de l'allaitement) ! Des news le plus rapidement possible, promis !

Et bien oui, incroyable mais vrai, je suis parvenue à 8 mois de grossesse ! Moi-même je n'en reviens pas et j'aurais jamais imaginé ça il y a un mois et demi...

Enfin, voici une photo de mon bide.

C'est un peu lourd, je ne vous le cache pas, mais c'est tout de même moins pire que ce que j'avais pu redouter en début de grossesse.

En tout cas, je promets que je ne signe pas pour la photo des 8 mois et demi !!! Ah ça non : maintenant, il faut tout de même songer à sortir ! Allez P'tit pépère et Grosse mémère, on veut vous voir !

Après 6 semaines de repos strict, je peux enfin reprendre une activité normale !!! Enfin, disons tout au moins une activité modérée car j'ai tout de même une mobilité assez restreinte, vu l'ampleur du bide, les maux de dos et les douleurs ligamentaires... La gynéco que j'ai vue en consultation tout à l'heure m'a dit que les bébés peuvent arriver maintenant sans problème. Du coup, j'arrête aussi tout traitement pour calmer les contractions.

Je suis aux anges rien qu'à l'idée de penser que je vais pouvoir aller chercher les enfants à l'école tout à l'heure ! Quelle surprise ça va être ! Dire que je n'ai pas pu y aller une seule fois depuis qu'ils sont rentrés ! Regardez-les ces petits chérubins, ça va leur faire plaisir !!!

Allez, je vous tiens au courant mais... on en voit le bout !

Qui sait, mon prochain post sera peut-être après l'accouchement !

Voici donc l'ampleur de la place que prennent les bébés dans mon énorme ventre.

 

Selon l'échographie de jeudi, J1 pèserait environ 2,200 kg et J2 2,500 kg. Autrement dit, la fille continue de devancer le garçon de 300 g, mais ils vont très bien. Il faut encore que je reste tranquille pendant 8 jours selon la sage-femme que je vois 2 fois par semaine, mais j'ai bien du mal...! Alors je recommence tout doucement à me lever un peu plus, mais mollo tout de même. Mais on en voit le bout ! Heureusement parce que tout le monde a hâte, notamment Benjamin qui m'a dit pas plus tard qu'hier : "Maman, on peut ouvrir ton ventre pour faire sortir les bébés ?".